Portrait du mois : Daniel Deloffre et l'école Charles de Gaulle

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Portrait du mois : Daniel Deloffre et l'école Charles de Gaulle

Un directeur engagé dans le bien être de ses élèves !

 

          L'école primaire Charles de Gaulle a eu l'occasion de travailler à de nombreuses reprises avec les Cités éducatives, notamment lors du programme de « sophrologie » de cette année. De plus, elle a bénéficié d'une dotation en livres, ainsi que de plusieurs interventions culturelles et artistiques. Toutefois, les 2 institutions n'ont pas encore fini de travailler ensemble, d'autres projets les attendent.

      Lors d'une interview, Daniel Deloffre, directeur de l'école primaire Charles de Gaulle, a eu la gentillesse de nous recevoir pour nous parler de son parcours ainsi que des Cités éducatives et de son implication au sein des écoles et de la ville de Tourcoing.

Directeur de l'école primaire Charles De Gaulle, depuis sa fondation, Daniel Deloffre est un directeur spontané, et impliqué dans la réussite de ses élèves. Ayant un profil très attractif, il a un parcours très intéressant : DUT de chimie, concours des instituteurs, master, enseignant, élu municipal et enfin directeur des écoles. Son objectif est de candidater pour un poste de direction au sein d'une école française à l'étranger.

      Il définit la Cité éducative comme un point d'appui et d'aide au sein de la vie dans la cité, autant pour les enfants en bas âge que pour les adultes. Une aide qui commence avant la naissance de l'enfant et qui continue après la formation scolaire, lorsque que l'enfant devient un adulte. Son objectif ? Ouvrir la culture et bien plus le champs des possibles. Derrière chaque projets se trouve une réflexion qui regroupe divers partenaires : culturel, associatif, scolaire, sportif, ... qui nécessite la plus grande écoute, et le plus grand respect pour les idées de chacun, une réflexion que Daniel Deloffre admire beaucoup.

          Néanmoins, s'il devait formuler une requête auprès des Cités éducatives. Il souhaiterait que celles-ci laissent une part de budget, qui serait libre aux écoles, pour qu'elles puissent répondre à des éléments qui leur font défaut, tout en justifiant leurs dépenses, et leurs demandes naturellement.

 

Ruth Bidi

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